BANGUI —- la déclaration de la Minusca prévenant qu’elle est débordé et sollicite le soutien du Conseil de sécurité préoccupe la rédaction des journaux en ligne.
Devant le Conseil de Sécurité, le responsable de la Minusca a indiqué que les Casques Bleus et le personnel civil sont les cibles des groupes armés. jeuneafrique.com, le site portugais rr.sapo.pt/noticia et voaafrique.com ont repris cette publication du site onusien.
Puis, rfi.fr annonce qu’un combat entre un groupe dissident du FPRC et le mouvement rebelle a fait plus de vingt morts à Ndele à propos de vol de bétail. Les civils sont les premières victimes.
Et sur cet événement, « les groupes armés Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC) et Mouvement patriotique pour la Centrafrique (MPC) ont combattu durant « une heure » mercredi », a déclaré le porte-parole de la mission de l’ONU. Déclaration rapportée par voaafrique.com.
allafrica.com rapporte les déclarations du porte-parole de la Minusca qui indique que les groupes armés et le personnel de sécurité de l’État ont commis au moins 35 incidents de violations des droits de l’homme contre des citoyens en République centrafricaine (RCA) au cours de la dernière semaine. Quelque 53 victimes ont été victimes de ces violations.En Politique, mondafrique.com s’acharne contre le pouvoir de Bangui sur l’affaire du « vrai-faux » passeport diplomatique de Boris Becker. Le site français publie une Attestation délivrée par l’Ambassadeur de la RCA auprès de la Belgique et de l’Union Européenne avant de s’interroger qui ment ? « Le Beckergate fragilise le pouvoir de Bangui », note-t-il.
Sur cette affaire, l-frii.com titre que « Boris becker veut devenir centrafricain pour une raison insolite ». Pour illustrer sont article, il y joint la photo de la star tennisman avec le Président centrafricain, F.A Touadera. Sur les ses problèmes judiciaires, pt.euronews.com informe que les trophées de Boris Becker sont mis aux enchères pour rembourser les dettes.
Puis en Humanitaire/Environnement, d’ici 2040, les forêts primaires auront disparu en Centrafrique, lit-on sur fr.canoe.ca.
Puis, africarivista.it déplore la difficile condition de vie des habitants de Bambari qui manque presque de tout. A la merci des groupes armés, « il n’y a pas d’eau, de nourriture ou de médicaments. Les enfants ne peuvent pas aller à l’école. C’est l’image que dessine l’équipe du Service Jésuite des Réfugiés (JRS) de la situation dans la deuxième ville de la République Centrafricaine, au nord de Bangui, pendant des mois, un centre d’affrontements », lit-on sur le site du journal.