Pour aider les plus jeunes à oublier les traumatismes de la guerre, une association a eu l’idée de leur proposer des cours de capoeira. La pratique de cet art martial afro-brésilien a permis à des filles et des garçons de tous les horizons de renouer des liens brisés par la guerre.
«La capoeira m'a donné une famille», lance Oussein, au milieu d'une quarantaine de jeunes emportés dans une danse rythmée par les percussions. Le président de l'association Abada Capoeira, qui vit aujourd’hui à Bangui, a découvert ce sport en 2013 dans un camp en République démocratique du Congo où il avait trouvé refuge. Il a décidé depuis de l’implanter en Centrafrique.... suite de l'article sur Autre presse