Le texte a été paraphé sous l’égide de Moscou, le 28 août à Khartoum (Soudan), par trois groupes armés de l’ex-coalition à majorité musulmane de la Séléka ainsi qu’un groupe antibalaka, prétendant défendre les chrétiens.
En parallèle de la médiation officielle menée par l’Union africaine (UA), la Russie et le Soudan ont organisé une rencontre entre différents groupes armés opérant en Centrafrique. Parmi les signataires de la déclaration dite d’entente: le Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique ( mené par Noureddine Adam), l’Union pour la paix en Centrafrique ( dirigée par Ali Darassa) et le Mouvement patriotique pour la Centrafrique (de Mahamat Al-Khatim). Le groupe armé conduit par Maxime Mokom, l’un des principaux leaders antibalaka, est aussi signataire.... suite de l'article sur Autre presse