Deux tiers des villes africaines pourraient être affectées d’ici 2035 par le réchauffement climatique. La menace est même qualifiée d’« extrême » par le cabinet britannique d’analyses de risques, Verisk Maplecroft, à l’origine de ces chiffres. Selon l'organisme, l’Afrique est tout simplement le continent le plus menacé par les effets du réchauffement.
Pour évaluer la capacité des villes à résister au choc climatique, le rapport du cabinet britannique d'analyse des risques, Verisk Maplecroft étudie deux facteurs majeurs : les projections démographiques et les données économiques.... suite de l'article sur RFI