La nuit noire ne restera pas éternellement en Centrafrique. Le jour va poindre. Un soleil nouveau va briller sur le pays tout entier et ce, grâce à la vision du Chef de l’Etat Faustin Archange Touadera entourés d’un gouvernement dirigé par un homme charismatique en la personne de Simplice Mathieu Sarandji et aussi à l’action des filles et fils intègres, compétents, conscients qui sont déterminés à mettre fin aux cycles infernaux de violence dans lesquels se trouve réellement le pays avec un potentiel naturel énorme sur lequel repose la RCA.
Nonobstant, les émotions intenses que nous avons tous éprouvées parce qu’aucune famille centrafricaine n’a été épargnée par la dernière crise qui a secoué le pays depuis 2012 dont les mentors et gourous sont la séléka avec ses sbires et marchands de la morts dont les extrémistes qui ont mis en coupe réglée le pays.
D’emblée, une malheureuse crise qui est venue s’ajouter aux multiples précédentes, qu’elles soient politique, sécuritaire économique ou humanitaire le pouvoir de changer ce pays n’appartient qu’aux centrafricaines et Centrafricains eux-mêmes. Surtout à l’action salvatrice et salutaire du chef de l’Etat Faustin Archange Touadera qui est actuellement déterminés malgré tout à faire recadrer les choses.
Il est donc grand temps que les Centrafricains soient à la hauteur des enjeux de la société d’aujourd’hui et des exigences relatives à l’existence d’un Etat. L’exclusion, la division, la haine, la voie des armes ne doit pas avoir sa place dans la nouvelle société centrafricaine.
En toute franchise, les Centrafricains doivent dorénavant s’éloigner des slogans soporifiques pour s’attaquer aux véritables problèmes de la nation, en ouvrant le pays aux partenaires qui accompagnaient le pays depuis son accession à l’indépendance, dans un cadre bilatéral ou multilatéral non pas pour des intérêts égoïstes et égocentriques mais pour des questions d’intérêt général.
Cependant, toutes les administrations doivent donc être reconstruites dans le sens de la déconcentration, de la décentralisation et de la régionalisation. Tout ceci en couvrant l’ensemble du territoire créant ainsi de véritables pôles de développement économique, social et culturel au bénéfice du citoyen Centrafricain qui a tant s... suite de l'article sur Autre presse