Depuis ces derniers temps, les nouvelles circulent sur tous les lèvres. Cela fait l’objet des discutions et des préoccupations des centrafricains lambda dans les places publiques, les rues, les taxis et bus.
Des nouvelles selon lesquelles le dialogue centrafricain serait organisé à Addis-Abeba en Ethiopie. Certains fils du pays semblent être frustrés par cette nouvelle.
Bien entendu, la victoire vient une fois de plus de changer de camps. Le dialogue inter centrafricain finalement se tiendra au Khartoum au Soudan du 26 au 28 janvier.
Il faut noter que, les principaux leaders des groupes armés centrafricains qui ont été réunis à Khartoum, la capitale soudanaise, le 28 août dernier ont clairement pris l’engagement d’agir pour converger vers la restauration effective de la paix et créer ainsi les conditions favorables à la libre circulation des personnes et des biens.
En effet, ces déclarations sont une lettre morte et ont accouché une revendication mort-née. Car, ces sulfureux manipulés par la France ont fait enterrer les conclusions de cette belle initiative en faveur de la normalisation de la situation sécuritaire en Centrafrique.
Mais ces ententes se sont volés et virevolté en éclat comme un pot d’argile et devenu de pire imbroglio. Cette réorganisation de ce conciliabule dans ce pays qui est le Soudan, renforce encore l’espoir chez tous les centrafricains qui attendaient que cette nouvelle.
Désormais en RCA, les faits et gestes des groupes armés sont et doivent absolument être surveillés au millimètre près. Il est vrai, si l’on peut dire que, plus de faux pas, on doit cependant s’aviser que personne n’a le droit à l’erreur, non plus la moindre. Aussi, précaution et prudence oblige surtout avec la coalition séleka qui ne se reconnait pas toujours et toujours dans les différents processus pour la consolidation de la paix en faveur de la RCA.