Le Gouvernement Centrafricain entame à partir de ce 24 janvier 2019 une concertation sur initiative de l’Union Africaine(UA), avec les quatorze (14) groupes armés à Khartoum la capitale économique de la République du Soudan.
Ce dialogue a pour but de faire un diagnostic ensemble avec les acteurs de la crise qui mine la République Centrafricaine depuis la chute du régime de François BOZIZE en 2013, en vue de trouver un compromis entre le Gouvernement actuel et ces Groupes Armées, permettant au paisible citoyen d’aspirer à une paix durable. Il faudrait préciser que la délégation centrafricaine a quitté Bangui ce mardi 22 janvier 2019, pour se rendre à Khartoum pour la rencontre dite de la dernière chance entre le Gouvernement Centrafricain et les Groupes armés.
Selon des sources concordantes certains figures comme le Chef des groupes armés 3R Sidiki, a été acheminé à Bangui par vol spécial à bord d’un avion des Nations-Unies. Faut-il noter que ce dernier a donné son accord pour participer personnellement à ce dialogue qui selon lui est la dernière perche permettant aux différents groupes armées de militer pour la paix et aussi de s’adhérer au processus du Désarmement Démobilisation Réinsertion et le Rapatriement(DDRR).
Signalons que, certains figure qui sont rechercher par la Cour Pénale internationale(CPI) et la Cour Pénale Spéciale(CPS), par peur d’être traquer par ces hautes machines Juridique, refusent de prendre part à ce dialogue. Ces derniers ont désigné que des représentants. Qui selon notre analyse est une forme de sabotage et d’opposition au retour définitive de la paix en République Centrafricaine.