Centrafrique : Le peuple dit non ! à la partition, non ! à l’amnistie et non ! au partage du pouvoir avec les mercenaires et terroristes

Publié le dimanche 27 janvier 2019 | lepotentielcentrafricain

© Autre presse par DR
Vue aérienne de Khartoum, Soudan

Pendant que les mercenaires et terroristes de la nébuleuse coalition rebelle séléka qui ont fait couler à flot le sang des innocents et paisibles civils centrafricains, remuent terre et ciel pour obtenir l’amnistie, le poste de la Primature ainsi que certains portefeuilles ministériels juteux et stratégiques, le peuple centrafricain est présentement sur sa garde et suit de très près l’évolution des pourparlers inter centrafricains qui se déroulent présentement à Khartoum capitale du grand Soudan.

En effet, le peuple centrafricain est très bien informé des manœuvres de certains dirigeants des Etats d’Europe et d’Afrique qui sont déterminés à écourter le mandat du Président de la République Faustin Archange TOUADERA afin de maintenir le pays le plus longtemps possible dans la crise et d’en tirer illicitement profit de ses immenses ressources minières qui demeurent jusqu’à ce jour sous-exploitées.

Ceci étant, ces comploteurs contre les institutions républicaines ont cru devoir saisir l’opportunité du dialogue inter centrafricain qui est en cours à Khartoum, pour instrumentaliser les mercenaires et terroristes de la séléka pour poser des conditions drastiques allant dans le sens de se dédouaner des graves crimes dont se sont rendus coupables en terre centrafricaine à travers une loi d’amnistie et de se tailler une part de lion au sein de l’appareil de l’Etat.

Et l’objectif recherché par tous ces ennemis du peuple centrafricain, est de parvenir à la partition de la République afin de s’accaparer des régions les plus riches en mines d’or, de diamant et de pétrole. Mais, c’est peine perdue car le peuple est au courant de tout ce qui se trame et est prêt à affronter par tous les moyens ses comploteurs et déstabilisateurs de la nation centrafricaine.

Pour preuve, au moment même où nous mettons sous presse cet article, les différentes couches sociales s’apprêtent à marcher dans les rues de Bangui la capitale pour dit haut et fort Non ! à l’amnistie, Non ! à la partition de la RCA.

Herman THEMONA

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