À une semaine de la fin du dialogue à Khartoum, le projet d'accord n'évoque pas l'amnistie générale aux rebelles. Ils craignent alors d'aller à l'abattoir. Certains sont sous sanction de l'ONU ou cités dans des rapports.
Depuis le début de cette semaine, les discussions qui ont lieu à Khartoum la capitale du Soudan, portent sur les revendications des groupes armés. Ceux-ci veulent notamment être assurés de ne pas encourir des ennuis après avoir déposé les armes. Une exigence que le pouvoir ne veut pas prendre le risque d'accepter.