« La traitrise finira toujours par payer très mal », dit-on un dicton. Ils sont connus depuis un certain de par leur contribution pour le ravitaillement des groupes armés. Votre site le potentielcentrafricain.com dispose d’une liste des noms des ministres traitres qui envoient régulièrement d’importante somme d’argent à l’état-major des groupes armés qui sont hostiles au régime.
Il s’agit notamment des rébellions telles que : le FPRC, le RPRC, l’UPC, le MPC et le MLCJ de l’aile dure de Birao dont leurs représentants sont présentement dans le gouvernement Sarandji 2 et que ces derniers se permettent de voler l’argent du contribuable centrafricain afin d’alimenter leurs maquis qui, par la suite, recrute des mercenaires, achète des engins de guerre pour tuer, voler, piller et incendier.
Ce n’est plus un secret pour personne ces ministres traîtres bien connus dont nous nous réservons à présent de publier leurs noms et que cela ne soit tarder à être divulguer dans tous les toutes prochaines publications.
A en croire les preuves que nous détenons, l’un de ses ministres traîtres est un contributeur incontournable du groupe armé d’où il est désigné pour siéger en son nom au sein du gouvernement. Ce ministre-rebelle envoie la somme faramineuse d’un million et demi de FCFA à son état-major à chaque fin du mois.
Cette somme selon l’un des proches de ce ministre permet au bon fonctionnement de leur « base », disant c’est ce qui permet de renforcer leur capacité opérationnelle sur le terrain. Autrement dit, ces sommes volés dans le Département, contribuent aux massacres de nos pauvres parents de l’arrière-pays.
Le ministre-rebelle que nous voulons interpellés le président de la République et le premier ministre pour son cas, dispose de plusieurs structures sous son Département. Il faut comprendre par-là que le Département totalise plusieurs directions qui bénéficient des fonds provenant des recettes mobilisées sur le terrain et ceux octroyés par les partenaires au développement. Donc, ce sont ces fonds que ce ministrable y fait de sa vache à lait, en les raflant dans leur totalité pour contribuer à la déstabilisation du pays.
C’est ce qu’on le centrafricain lambda a compris même la raison de la capacité de nuisance de ces groupes armés qui disposent d’une batterie de moyens de moyens logistiques sur le terrain. C’est bel et bien, l’argent du peuple volé par ces ministres-rebelles qui contribue au bon fonctionnement de ces groupes armés qui acheminent des armes achetées au Soudan et au Tchad dans leurs bases respectives (Ndélé, Bria, Birao, Tiringoulou, Boromata, Alindao, Nzako, Yalinga, Ippy, Kouango, Oudda et autres).
L’heure est arrivée pour qu’un terme soit mis à l’attitude hypocrite de ces ministres-rebelles qui « mangent » dans le gouvernement et contribuent en même temps aux massacres du peuple centrafricain.
Le Président de la République et le Premier ministre qui sont bien au courant de ces attitudes criminels de ces ministres, ne tarderont pas à régler leur sort dont ils seront remis automatiquement après limogeage, à la disposition de la justice pour toute fin utile. Les autorités du pays n’ont plus confiance à ces fameux membres du gouvernement qui sont dans la logique de mettre les bâtons dans les roues des teneurs du régime en question.
Ces ministres traîtres qui sont issus des groupes armés cités ci-haut vont continuer dans ce sens ? Questionné par l’un des reporters de votre site lepotentielcentrafricain.com, ce ministre-rebelle a répondu en ces termes : « je suis un homme d’affaire et je ne vis pas de la fonction du ministre. Ce n’est d’ailleurs pas moi qui a sollicité ce poste. Même si je sois relevé à l’instant même, je vais continuer mes affaires…Sans le gouvernement, mes affaires continuent ».
S’agissant-il de quelle affaire dont ce ministre-criminel en parle ? C’est simple ! C’est la rébellion. Ces ministres qui sont issus des groupes démontrent à suffisance qu’ils sont contre Touadéra et Sarandji. Pour dire tout court, ils sont prêts à renverser l’actuel régime et c’est qu’ils font avec les tractations qui se poursuivent en ce moment à Khartoum. Ce sont eux dictent leurs poulains à savoir : Abakar Sabone, Ali Darassa, Alkatim…
Après tout, les choses se précisent déjà du côté des hautes autorités du pays sont prêts à faire partir ces ministres-traîtres qui envoient régulièrement l’argent du peuple à leurs éléments rebelles afin de massacrer ce même peuple.