Les chefs de guerre dont certains sont sous sanction de l'ONU ou cités dans des rapports de violation des droits de l'homme, font de l'amnistie et du partage du pouvoir, des questions prioritaires à Khartoum.
Le gouvernement poursuit son dialogue à Khartoum avec des représentants d'une quinzaine de groupes armés qui écument une large partie du territoire.