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Centrafrique : Une crise à petit feu

Publié le vendredi 1 fevrier 2019  |  Le Potentiel Centrafricain
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Cela fait plus de cinq ans aujourd’hui, de suite à la récente crise militaro-politique qu’a connue la RCA, il est important de noter qu’une guerre contre les écoles dans les provinces a été lancée par les assassins et ennemis du peuple centrafricain.

D’après une enquête réalisée par la Rédaction de votre site lepotentielcentrafricain, provenant des sources institutionnelles, ont indiquées que plus de neuf cent établissements publics sont hermétiquement fermés et de milliers d’élèves ont été contraints d’abandonner les études pour se lancer dans des activités minières et champêtres et pour cause ? Il s’agit bien au fait de l’occupation anarchique des établissements par des groupes armés, s’ajoute à cela, les massacres, pillages des tables bancs qui s’en ont suivis à une autre fin…

En effet, l’accès à l’éducation est l’une des principes fondamentaux des Nations-Unies basés même sur la Déclaration universelle de Droits de l’Homme. L’on ne peut croire qu’aujourd’hui, les établissements scolaires en Centrafrique sont prises en otage au vu et su de la MINUSCA qui est sensée de ramener la paix et la quiétude sur toute l’étendue du territoire national.

Et malgré les campagnes de sensibilisations menées par l’Unicef Centrafrique relative à la rentrée scolaire 2018-2019, ces terroristes continuent à semer la tristesse et désolation dans les provinces contre les populations civiles, empêchant en fin de compte, ces enfants à suivre leur cursus scolaire afin de contribuer au développement de la RCA dans les années à venir.

Ces multiples actes de ces bandes criminelles contre l’avenir des fils du pays, témoignent combien de fois ces enturbannés ne veulent pas de la paix et le développement dans le pays alors que le président de la République FAT y attache un intérêt particulier.

Pour éviter le pire, il est temps que la communauté internationale puisse penser à l’avenir des fils de ce beau pays et que des mesures idoines soient prises pour mettre un terme aux crimes contre l’humanité dont font preuve ces mercenaires et autres terroristes qui font la pluie et le beau temps dans les provinces.

Hervé BINAH,
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