Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

CENTRAFRIQUE : Enfin un accord de paix entre gouvernement et groupes rebelles à Karthoum

Publié le mardi 5 fevrier 2019  |  Agence Presse Panafricaine
Le
© AFP par ASHRAF SHAZLY
Le secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix, le commissaire de l`UA pour la paix et la sécurité et le chef de la diplomatie soudanaise lors de la session d`ouverture des négociations à Khartoum le 24 janvier 2019.
Comment


Le dialogue tant attendu, ouvert le 24 janvier dans la capitale soudanaise entre le gouvernement centrafricain et les14 groupes armés, sous l’égide de l’Union africaine, et avec l’appui de l’Onu, afin de rechercher la sortie de la crise en Centrafrique a connu un dénouement heureux le samedi 2 février 2019, pour le grand bonheur de l’avenir de ce peuple.

Les parties en négociation, composées de la délégation gouvernementale, d’une part, et des leaders des quatorze groupes armés, de l’autre, se sont imprégnées, samedi et dimanche derniers, d’un projet d’accord final. Les membres du gouvernement ayant effectué le déplacement de Khartoum dans le but de défendre les dossiers, au nom du peuple et de l’Etat centrafricains sont : Marie-Noëlle Koyara de la Défense nationale, Sylvie Baïpo Témon, des Affaires étrangères, Flavien Mbata de la Justice, et Virginie Mbaïkoua de l’Action humanitaire, sous la houlette du ministre D’État Firmin Ngrébada, directeur de cabinet à la présidence de la République et chef de la délégation gouvernementale. Ces derniers ont affronté plusieurs défis pour s’acheminer vers un consensus, quand on sait que les principales revendications des groupes armés reposaient sur l’amnistie générale et le partage du pouvoir.

C’est aux termes des échanges parfois électriques qu’est issu cet accord de paix dont le contenu n’est pas encore dévoilé. Car, pour s’assurer que cette imprégnation se passe en toute discrétion, les personnes autorisées à prendre part aux négociations ont travaillé et continuent de travailler à huis-clos. En clair, rien n’a filtré des compromis réalisés. Toutefois, on subodore que parmi les revendications discutées, figurent la mise en place d’une Commission justice, vérité et réparations ; l’instauration de brigades mixtes ; l’inclusivité du gouvernement…
... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires

Sondage
Nous suivre
Nos réseaux sociaux

Comment