Chacun maitrisant une partie plus ou moins importante du territoire centrafricain, quatorze groupes armés sont parvenus à conclure avec les autorités de Bangui un accord de paix, paraphé mardi à Khartoum.
Depuis la chute du président François Bozizé en 2013, qui a marqué le début d'une profonde crise en Centrafrique, ces groupes contrôlent environ 80% du territoire, où une mission de l'ONU (Minusca) et l'armée tentent d'empêcher les violences quotidiennes.
- Deux influents groupes de l'ex-Séléka
Officiellement, la coalition de la Séléka (alliance en langue locale), à l'origine de la chute de François Bozizé, a été dissoute en 2013.
Mais deux groupes armés créés par d'ex-généraux de la Séléka ont aujourd'hui une grande influence: le Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC) et l'Unité pour la paix en Centrafrique (UPC).... suite de l'article sur Autre presse