Le 6 février à Bangui, le gouvernement et les groupes armés centrafricains ont signé l’« accord politique pour la paix et la réconciliation ». De nombreux points importants figurent dans ce document de 43 pages.
Au-delà de la question fondamentale de la justice, l’accord prévoit « la dissolution intégrale des groupes armés sur toute l’étendue du territoire national ». Les 14 groupes armés qui contrôlent 80% du territoire et combattent pour le contrôle des immenses ressources de la Centrafrique s’engagent à « participer pleinement » au processus DDR de désarmement et à « bannir toute velléité d’accession ou de conservation du pouvoir par la force ».... suite de l'article sur RFI