L’accord de paix du 6 février sera-t-il le bon ? Pour l’instant, il tient. Et les Centrafricains veulent y croire ! Cet accord a été signé après dix jours d’intenses négociations à Khartoum sous l’égide de l’Union africaine.
Le député de la majorité parlementaire Mathurin Dimbelet-Nakoé était sur place, au cœur de ces négociations, en tant que deuxième vice-président de l’Assemblée nationale de Centrafrique. Aujourd’hui, de retour à Bangui, il explique à Christophe Boisbouvier pourquoi cet accord a plus de chances de succès que les sept accords qui l’ont précédé.... suite de l'article sur RFI