Après le retrait du FPRC de la nouvelle équipe gouvernementale et l'annonce d'un autre groupe armé de se retirer de l'accord de paix signé début février entre Bangui et 14 groupes armés, le processus de paix se retrouve de plus en plus dans la tourmente.
Le Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC, groupe armé localement implanté dans le nord-ouest du pays) a annoncé lundi « se retirer purement et simplement du processus de paix ».
Dans un communiqué, le groupe armé a estimé que le nouveau gouvernement formé dimanche est « loin d’être inclusif » comme le prévoyait l’accord de Khartoum, et « ne prend pas en compte les attentes des signataires ». Le FDPC n’a pas obtenu de portefeuille ministériel dans la nouvelle composition.... suite de l'article sur Jeune Afrique