Ils sont connus pour leurs stratégies qui visent à rendre le pays ingouvernable. L’histoire de 2013 ne nous échappe pas. Les leaders des partis de l’opposition pour leurs intérêts égocentriques, se sont alignés derrière les rebelles de la séléka pour abréger le régime de Bozizé. Les conséquences de cette duplicité contre le peuple centrafricain sont là : incendie des villages, massacre des populations civiles, viols et vols.
Après le départ de Bozizé du pouvoir, une transition a été mise en place pour la gestion du pays et l’organisation des élections qui sont soldées par la présence du président Touadérea à la tête du pays. Pas satisfaits des efforts qui se font pour le relèvement du pays, les mêmes opposants véreux qui veulent toujours assister à la situation chaotique de la RCA, entendent combattre Touadéra et son gouvernement afin que leur mandat ne réussisse.
Tout ce qui se fait dans le sens positif, est toujours négatif du côté des leaders de l’opposition qui ne joue franc-jeu dans le sens démocratique. Quel est donc le vrai rôle des partis politiques en Centrafrique ? Que de critiquer et contredire pour le plaisir ? N’ont-ils pas le souci de leurs compatriotes qui souffrent des effets de cette crise et que l’actuel régime avec l’appui des partenaires cherche à y remédier à leur situation ?
Des pas importants ont été franchis dans la mise en œuvre du plan de relèvement national avec l’apaisement de la situation sécuritaire et humanitaire. Mais, l’opposition démocratique voit d’un mauvais œil et souhaite que les populations replongent à nouveau dans la crise aiguë.
Les leaders des partis politiques de l’opposition qui s’opposent catégoriquement à la gouvernance du régime Touadéra, viennent de démontrer qu’ils demeurent éternellement l’ennemi du peuple centrafricain. L’Accord de paix et de la réconciliation signé entre le gouvernement et les groupes armés, n’est pas du tout leur affaire. Autrement dit, ces derniers qui n’apprécient pas la politique de la main tendue et du dialogue développée par le président Touadéra, proposent encore un autre plan démoniaque pour secouer le pays.
Le récent quiproquo connu avec le gouvernement d’union nationale mise en place, est une opportunité pour les leaders de l’opposition démocratique de dire clairement à Touadéra et à tout le peuple centrafricain qu’ils veulent de sa destitution et assister ainsi au bain de sang.
Dans un communiqué signé par Joseph Bendounga, Nicolas Tiangaye et Alexandre Ferdinand N’guendet, les mots ne sont pas cachés. Ces leaders comme à l’accoutumé, « Exige la démission immédiate du Gouvernement de récompense et de projection électorale et la formation sans délai d’un nouveau Gouvernement réellement inclusif, seul apte à impulser une dynamique indispensable au retour de la paix et favorisant la réconciliation nationale ».
Quelle récompense et projection électorale parlent-on ces affamés politiques qui sont abhorrés par le peuple centrafricain qui est prêt à « régler leur compte » s’ils continuent dans leur dessein de coup de force contre le régime démocratique de Bangui. Le gouvernement mis en place récemment est inclusif. Les groupes armés, les partis politiques et autres entités y sont. Donc, les partis politiques sont récompensés avec la politique de la main tendue du président Touadéra!
Parlant de la projection électorale ! C’est trop dit et ces leaders de l’opposition viennent de montrer leur carence en politique. Le régime de Touadéra n’est pas encore à la fin de son mandat. L’heure est à la reconstruction nationale et non à la préparation des élections. Que ces politicards de l’opposition soient tranquilles en attendant le moment venu.
En réalité, le mouvement politique du président Touadéra se prépare tout comme les autres partis politiques qui organisent des congrès, assemblées générales…cette préparation n’a aucun lien avec le gouvernement qui est composé d’ailleurs de toutes les entités qui ne partagent pas la même vision politique du président Touadéra.
Ce que ces leaders d’opposition veulent, c’est juste pour imposer une transition et abréger ainsi le mandat présidentiel du président Touadéra qui est apprécié par l’opinion nationale et internationale. Demander la démission immédiate du gouvernement, c’est proposer le retour du chaos dans le pays. Les leaders signataires de ce document veulent porter atteinte à la sûreté de l’Etat et à l’encontre des hautes autorités. Le plan a échoué déjà, les leaders de l’opposition se font trahir clairement.