Par rapport aux points de langage de la Compagne de sensibilisation sur le déploiement des FACA, annoncé par le gouvernement et conformément aux engagements des groupes armés.
Il est inscrit à l’article 15 alinéa (d) que tout acte doit être posé d’un commun accord avec les partis et les partenaires.
Selon les engagements sécuritaires temporaires en annexe 1 article 16, les partis s’engagent dès la signature du présent accord à mettre en place des unités spéciales mixtes de sécurité pour une période transitoire initiale de vingt-quatre mois et placées sous la supervision des forces de défense.
Elles sont constituées de membres de forces de défense et de sécurité nationale et en majorité des membres des groupes armés ayant pleinement adhérés aux principes du présent accord et suivi une formation adéquate de (2) deux mois.
Le CNDS s’adhère pleinement à l’accord de Khartoum, mais s’oppose catégoriquement au déploiement des FACA à Kaga-Bandoro, car cela dénote bien la violation de l’accord par le gouvernement, accord signé par tous les partenaires nationaux et internationaux.
Il est dit dans l’accord qu’aucune parti ne doit occuper de nouvelles positions militaires avant la mise en place des unités mixtes spéciales de sécurité.
Le Président du Conseil National de défense et de sécurité (CNDS) prend à témoin les opinions nationales et internationales de ce dérapage et de la violation de l’accord par le gouvernement.