En Centrafrique, l'heure semble être à l'apaisement, après le massacre de civils dans la région de Paoua et qui a été attribué au groupe armé des 3R, un massacre qui a fait au moins 34 civils selon les chiffres de la Minusca rendus publics dès mercredi et qui a fait planer de sérieuses menaces sur l'accord de paix de Khartoum, alors que le gouvernement leur avait donné 72 heures pour qu'ils livrent les coupables. Smaïl Chergui, le président de la Commission paix et sécurité de l'Union africaine et l'un des parrains de cet accord, a été le premier à tenter de calmer le jeu dès vendredi en annonçant sur RFI que les 3R étaient prêts à livrer les coupables. C'est chose faite, a assuré un peu plus tard le porte-parole de ce groupe armé.... suite de l'article sur RFI