Centrafrique : une seule solution, la force ?

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Publié le dimanche 7 decembre 2014 | Les Plumes de RCA

© AFP par DR
Centrafrique: manifestation à Bangui contre l`armée française

La communauté internationale et la France qui disposent d’une force sur place en Centrafrique devraient recourir à la force contre les entêtements criminels et satanique des Sieurs NOURRADIM, ZOUNDEKO. Ce Nourradim, criminel sous sanction des nations unies qui jouit et bénéficie des soutiens multiformes du Tchad voisin doit être neutralisé ainsi que toutes les autres forces négatives, afin de permettre à l’Etat de fonctionner. NOURRADIM est en liaison directe avec les terroristes de Boko harem et ce vampire doit être simplement arrêté car on ne négocie jamais avec les terroristes.

Après toute la pression internationale et les sanctions qui n’ont pas produit d’effet sur NOURRADIM et son mentor le sanguinaire DJOTODIA retranché dans son bunker à Cotonou, celui à qui l’on refuse d’attribuer le titre d’ancien président; il est évident qu’il n’y a que la une solution qui reste, celle de la force.
Nous demandons au nom du peuple Centrafricain au Conseil de sécurité des Nations unies, à l’Union européenne, à l’Union africaine et à la CEEAC d’envisager la force CONTRE LES FORCES NEGATIVES établies sur le territoire Centrafricain. La situation sécuritaire est très préoccupante en Centrafrique. Selon la Radio Ndeke Luka : des pleurs au lendemain de la visite de Nguéndet à Bambari et le communiqué du bandit de grand chemin le FPRC donne 72 heures aux agents de l’Etat de quitter les zones sous son contrôle. Tous les ingrédients sont réunis pour utiliser la force contre ces criminels qui prennent la population Centrafricaine en otage. Nous sommes face à une folie meurtrière de Nourradim, Zoundeko, leurs sbires et il n’est pas exclu que cette association de voyous qui se sent aux abois, désavoué par l’ensemble du peuple Centrafricain, désavoué par l’Union africaine, désavoué par l’Union européenne et l’ONU, devienne de plus en plus violent et suive la voie suicidaire.

SIMON- KOITOUA