Huit mois après son inauguration, la Cour pénale spéciale (CPS) chargée de juger les violations graves des droits humains commises en Centrafrique a annoncé jeudi à Bangui avoir instruit trois dossiers qui pourraient déboucher sur des procès.
“D’ici à la fin de l’année prochaine, l’instruction des premiers dossiers pourra se terminer et mener à des procès”, a déclaré le président de la CPS, Michel Louanga, lors d’une conférence de presse.
Créée par décret en 2015, la CPS est chargée de juger les violations graves des droits humains et du droit international humanitaire commises en République centrafricaine depuis 2003.... suite de l'article sur Autre presse