C’est seulement en Centrafrique que la politique politicienne fait son bonhomme de chemin. Pourquoi les politiciens, disant ceux qui se disent des opposants font toujours la politique de « ventre » ? La RCA s’est retrouvée à un moment dans un état pitoyable à cause des politicards sans foi, ni loi.
En Centrafrique, les ennemis du peuple ce sont même les politiciens qui s’agitent dans tous les sens et ne proposent aucune solution pour faire sortir le peuple de son malheur. Le retour à l’ordre constitutionnel devait être l’occasion pour que tous les centrafricains se réunissent pour reconstruire leur pays. Cependant, certains malheureux-politiciens ne s’inscrivent pas dans cette logique et font toutes les manœuvres visant à enfoncer le pays dans le gouffre. Ces badauds-politiciens oublient que leurs parents en sont les victimes de cette politique politicienne qui ne profite à rien.
Si la politique est devenue pour eux, le seul moyen d’accéder à des hautes fonctions de l’Etat, de s’enrichir et de faire couler le sang comme bon leur semble, le peuple centrafricain décide de tourner la page de ce comportement antiquaille qui n’a plus sa place en Centrafrique.
Dans un pays dit démocratique, le point de vue est toujours divergent et la liberté est laissée à tous ceux qui désirent se faire entendre, surtout dans le strict respect de la Loi. Mais, cette possibilité ne doit servir de l’opportunité pour certains qui vendent leurs « âmes » pour que le pays plonge dans le chaos.
C’est inadmissible et déplorable avec ce que nous constatons de la part de ces profito-situationnistes qui se regroupent dans une confrérie pour déstabiliser le régime du président Touadéra qui n’est qu’à son premier mandat. Pourquoi faire cette politique de ventre contre une seule personne dans sa tête ne plaise à certains ? Est-ce la politique c’est pour tuer, violer et alimenter le feu dans le pays ? C’est désolant et les badauds-politiciens doivent revoir leur copie et de changer leur façon de faire la politique. Le pays veut avancer dans un vrai développement et que les calculs politiciens doivent cesser automatiquement.