Le régime de Bangui qui passe au dernier virage de son premier mandat, fait face à de multiples bâtons qui lui sont tendus dans ses roues par mains extérieures, la France disons-le clairement.
En effet, c’est l’Accord de Khartoum qui a ouvert la boite à pandore à toutes les difficultés connues sur le plan sociopolitique ces derniers moments. L’accord de défense signé avec la Fédération de Russie en est également l’autre cause de ces multiples gènes qui visent à rendre impopulaire le régime de Bangui.
En quoi, ces actes qui visent le rétablissement de la paix dans le pays peuvent devenir encore un obstacle dans le processus de cette même pacification du pays ! Il vous souviendra que tout est parti de la crise sécuritaire connue sur le corridor Bangui-Garoua Boulaï où le chef de guerre Abdoulaye Miskine du FDPC et ses éléments ont été manipulés depuis l’extérieur pour rendre chaotique l’économie nationale. Malgré tout ça, tout a été rentré dans l’ordre.
Quelques jours après la résolution de ce problème, la pénurie en carburant se fait parler d’elle dans la ville de Bangui et ses environs où il était question pour l’entreprise française TOTAL, de couper le robinet de ses stations aux usagers et de les pousser ainsi à un soulèvement contre le pouvoir de Bangui.
Les informations qui nous sont parvenues font état de la stratégie des autorités françaises qui veulent mettre à genou le pouvoir de Bangui qui s’oppose à toute ingérence dans la politique nationale. Pour la France, le régime du président Touadéra est le seul à objecter à la politique francentrafricaine de Macron et Yves Ledrian, ceux qui soutiennent les ennemis de la République Centrafricaine en ce moment.
La solidarité sous régionale et la technicité du président Touadéra, le premier ministre Firmin Ngrébada et le ministre de l’énergie Herbert Gotran Djono Ahaba a permis à ce que les solutions soient trouvées à cette crise de carburant, empêchant ainsi la manœuvre de la France qui veut toujours contraindre le président Touadéra à faire son mea culpa devant ses injonctions.
Les autorités françaises qui veulent toujours avoir la mainmise sur les richesses naturelles du pays, souhaitent que les grandes décisions nationales soient passées nécessairement par le l’Elysée et que ce sont leurs DICTEES qui doivent être appliquées, sont obligées de développer d’autres stratégies pouvant pousser la population centrafricaine dans la rue contre les autorités de la place. Cette nouvelle donne, c’est le problème, soi-disant technique confronté au niveau de Western Union, ce moyen qui permet d’envoyer ou recevoir un transfert d’argent.
Bangui fait face à ce problème depuis près de deux semaines et les gens sont dans la tourmentes. Des compatriotes meurent à l’hôpital voire la faim à cause de cette difficulté de transfert d’argent où rien ne marche. A l’origine et selon une source concordante, c’est toujours les autorités françaises qui auraient mis des dispositifs en marche pour contraindre le pouvoir de Bangui à lui faire les yeux doux, sinon, il ne fera pas long chemin. Ah bon hein !
Le problème de transfert d’argent dans la ville de Bangui a trop perduré et les autorités françaises signent et persistent pour que cela prenne une autre ampleur et tournure. Même si cela venait à être réglé, d’autres plans machiavéliques contre le régime de Bangui seraient déjà peaufinés par la France qui veut clouer Touadéra absolument.