travers son Coordonnateur M. Zama Javon Papa, son rapporteur général l’Honorable Mathurin Dimbelet Nakoé et M. Abakar Piko ont animé une conférence de presse ce 23 juillet 2O19 à l’Hôtel Somba. Ce face-à-face avec les professionnels des médias visent à clarifier les lanternes de l’opinion nationale et internationale sur les efforts que déploie le régime en place en vue de la pacification totale du pays, contrairement aux intentions machiavéliques du mouvement d’opposition E zingo biani. MCD, comme tout autre mouvement citoyen, s’inscrit dans la dynamique d’animation de la vie politique et d’informer le peuple centrafricain en temps réel sur les vérités que certaines personnes malintentionnées veulent leur cachées.
Le Mouvement Centrafrique Debout qui ne croise pas depuis toujours les bras face à la manipulation du peuple centrafricain dont les leaders du mouvement « Front Uni-E zingo biani » en sont responsables, continue ses missions dans la droite ligne de défendre l’intérêt du peuple centrafricain sous la bénédiction du président du président Touadéra qui a promis de se battre pour leur quiétude.
Dans ses propos de circonstance devant un parterre des journalistes, le rapporteur général du MCD a fait une analyse générale sur la situation politique de l’heure, en commençant par le rappel de différentes crises survenues dans le pays dans les années 80, 90 et celles qui concerne le coup de force de la séléka en 2003 (coup d’état de François Bozizé), 2011 (élections contestées), 2013 (coup d’état de la séléka) et aujourd’hui avec le président Touadéra dont ces mêmes personnes d’hier, font tout pour « remuer le couteau dans la plaie du peuple centrafricain ».
« Aujourd’hui, c’est le résultat de l’infantilisme centrafricain. On ne fait pas dans ce pays la politique pour l’intérêt du peuple centrafricain. La démocratie, c’est une opposition responsable. Mais, ce qui se passe aujourd’hui, c’est du désordre total avec ceux qui se disent de l’opposition démocratique, appuyés par certains assoiffés des mouvements dits, de la société civile », A indiqué Mathurin Dimbelet Nakoé dans ses interventions.