Bouar – Le responsable de la MINUSCA de la section droite de l’homme de Bouar serait impliqué dans un acte de violence volontaire sur un aide-soignant en plein service à l’hôpital district, a-t-on appris de source policière.
Selon docteur Napoléon Nomlo, Médecin chef du district sanitaire de Bouar contacté par CNC, l’acte criminel a eu lieu au moment où la victime était en plein service à l’hôpital. D’après les premiers éléments de l’enquête de la police judiciaire de la Nana-Mambéré, Monsieur Boniface Ngoya, auteur présumé de cet acte criminel, aurait accusé à tort ce jeune aide-soignant d’avoir abandonné, sans s’occuper de lui en urgence, son fils de 2 ans, blessé à la tête quelques heures plutôt à la maison et transporté d’urgence à l’hôpital.Or, à en croire aux versions de la victime, le bambin a été pris en charge immédiatement après son arrivée à l’hôpital, mais il faudrait deux personnes ou plus pour le maintenir au moment du pansement de sa blessure. « C’est un bébé, il faut bien faire les choses pour éviter toute complication future », conclut-il. D’après nos informations, Monsieur Boniface Ngoya a déjà affiché de comportement agressif partout où il passe. Dans les bars et buvettes, les servantes se plaignent de son comportement. Même au lycée moderne de Bouar et l’école catholique associée, il se comporte de la même manière. Ce qui est étonnant, car le présumé agresseur, Monsieur Boniface Ngoya, est un Responsable de droit de l’homme, de surcroît des nations unies.Quant au DR de l’hôpital district de Bouar, il condamne le comportement répété de ce responsable sur les agents de la santé.Selon nos informations, une plainte a déjà été déposée à la justice par la victime contre son agresseur qui n’est pas à sa première agression contre un agent de l’hôpital à Bouar. Affaire à suivre…