Le feuilleton sur l’affaire Bozoum semble devenir une occasion pour certaines personnalités politiques à mettre les bâtons dans les roues du président Touadéra et de son gouvernement à travers des mots inventés ici et là. Suite aux informations colportées dans tous les sens, le Ministre des Mines et de la Géologie Léopold Mboli Fatran a animé récemment, une conférence de presse en vue d’éclairer les lanternes de l’opinion nationale et internationale.
Dans ses propos tenus lors de cette rencontre avec les professionnels des médias, le Ministre des Mines a été clair et bien explicite sur cette affaire de Bozoum. Malheureusement, certaines personnes malintentionnées qui n’ont pas le sens de discernement, ont interprété dans le non-sens, la quintessence des points d’éclairage du ministre des mines.
Du jamais et au n’aucun moment, le ministre a reconnu qu’il y’ait bien eu de corruption dans l’affaire Bozoum par certaines personnalités, ni de pointer du doigt deux députés-suppléants de Bozoum 1 et 2. C’est des pures allégations mensongères qui sont fomentées voire basées sur les intentions politiques, juste pour entretenir la confusion et l’amalgame dans le but de nuire au gouvernement à la veille de grandes échéances électorales attendues.
En toute vérité, le patron du Département des mines qui a su mettre à l’œuvre la feuille de route qui lui a été confiée, n’a jamais avancé un mot comme quoi, il y’a bel et bien corruption, c’est faux ! Et ce dernier n’a pas cité les noms des deux suppléants de Bozoum 1 et 2. Certainement, ces mots inventés au nom du ministre Mboli Fatran, c’est des stratégies mises en place pour affaiblir le pouvoir, de chercher à créer un vide autour du président Touadéra en poussant ainsi les cadres sur lesquels, l’homme du 30 mars 2016 s’appuie pour le relèvement du pays.
D’autres raisons qui poussent ces déstabilisateurs a abusé de ces mensonges au nom du ministre des Mines, c’est la création d’une instabilité institutionnelle. Interrogeons-nous en ces termes : Que recherche-t-on à travers tous ces vacarmes contre le ministre des Mines ? La fragilisation des Institutions de la République, le gouvernement ou le pouvoir en place ?
Ce que nous pouvons retenir de cette affaire Bozoum dont on parle des 40 millions qui auraient été remis à l’honorable Jean-Michel Mandaba et suite aux enquêtes de votre site lepotentielcentrafricain.com, c’est une campagne de diffamation propagée contre le ministre Mboli Fatran en vue de ternir tout simplement son image. On veut juste faire du ministre Mboli Fatran par tous les moyens, un bouc émissaire d’un conflit entre les adversaires politiques au sein de l’Assemblée Nationale.
Pour couper-court, ces campagnes de dénigrement sur la personne du ministre des Mines et ses proches collaborateurs doivent cesser et l’heure n’est pas aux menteries et autres clabaudages colportés inutilement pour remettre en cause les bonnes actions dont font preuve le ministre Mboli Fatran et les techniciens du Département qu’il dirige.