« Ce sont des bons fruits qui font l’objet de convoitise », dit un dicton. Plusieurs personnalités proches du régime de Touadéra font les frais de ce dont nous voulons évoqués dans ce présent article de presse. Le ministre de l’Environnement et de l’Ecologie Thierry Kamach est également victime de plusieurs mensonges inventés en son nom et celui du Département qu’il dirige avec sagesse et compétence qui donnent des fruits tangibles.
Au moment où tout le monde assiste aux bonnes réalisations qui se font sentir au sein de ce Département comme les partenaires extérieurs nous le témoignent, d’autres personnes qui sont contre ces succès, commencent à faire croire que rien ne va avec la présence du ministre Kamach qui d’ailleurs, fait un travail remarquable basé sur des résultats prometteurs pour le développement socio économique de la RCA.
Selon les dires de ceux qui veulent à tout prix la tête du ministre Thierry Kamach, ce dernier serait exportateur du bois vers le Congo et celui-ci distribuerait des permis d’exploitation et d’aménagement (PEA) à certains étrangers. Quel mensonge grotesque ? Thierry Kamach est-il le ministre des Eaux et Forêts ? Quels bois ou sur quel bateau le ministre Kamach fait ce genre d’affaire vers le Congo?
Pour la bonne information de ceux qui colportent ces informations factices, le ministre Thierry Kamach gère le Département de l’Environnement et de l’Ecologie et non celui des Eaux et Forêts. Qu’ils « ragoteurs » aillent à la source pour bien s’imprégner des choses et non de rester dans leur petit coin pour animer la galerie avec des fausses informations sur la personne de Thierry Kamach, ce jeune ministre qui, pour sa première entrée dans le gouvernement depuis la présence du président Touadéra à la tête du pays, fait preuve d’un bon élève qui traduit dans les faits, les missions qui lui sont confiées.
Sur la même personne de Thierry Kamach, on invente également une histoire de son implication dans l’affaire « Bozoum », le pointant étant celui qui fait partie des corrompus par les chinois. Alors qu’en réalité, le ministre Kamach n’est ni de près de cette affaire qui ne relève pas de la compétence du Département qu’il dirige.
Ce que nous savons dans cette affaire, Thierry Kamach a été mis à contribution que lorsque l’affaire éclatait à travers la réaction du Père Aurelio de la paroisse de Bozoum qui parlait de la dégradation de l’environnement lequel, le premier ministre Firmin Ngrébada avait convoqué une réunion en son Cabinet (avec les Ministères concernés) en vue de voir ce qu’il y’a lieu de faire. C’était dans cette optique qu’une mission gouvernementale avait été diligentée sur le site minier à Bozoum pour toucher du doigt la réalité de cette soi-disant dégradation de l’environnement. Aujourd’hui, le résultat de l’analyse de cette question de contamination du fleuve avec des produits chimiques, n’est pas encore connu pour savoir si effectivement, il y’a pollution ou dégradation de l’environnement. Laissons le temps au temps alors !
Mais, en quoi le ministre Kamach est impliqué dans la corruption ? Est-ce que le rapport de la commission parlementaire a cité le nom du ministre Kamach ? Jamais ! Mais, pourquoi alors chercher les poux là où ils ne s’y trouvent pas ?
Il suffit de faire un tour au Département de l’Environnement et de l’Ecologie pour s’en rendre compte des réalisations qui sont en train d’être faites en si peu de temps que le ministre passe à la tête de ce Département. Personne n’est sans ignorer que le régime de Bangui accorde une importante place aux problèmes environnementaux et de l’écologie de la RCA. Dans cette allure de travail enregistré au niveau du Département de l’Environnement, on peut noter la signature de plusieurs accords et autres conventions de partenariat avec les partenaires au développement.
Le ministre Thierry Kamach donne aujourd’hui une autre image à ce Département qui contribue efficacement au relèvement économique du pays. Parler du mal ou porter des accusations infondées sur lui et ses techniciens, c’est peut-être ceux qui marchent sur leurs têtes et qui n’ont que la seule vocation de donner la mauvaise image de la gouvernance de notre pays, alors que sur le terrain, la réalité est positivement reconnue.