Quelle mouche a piqué les démons de la crise qui se sont ressuscités dans leur tombe pour freiner le processus de relèvement du pays, engagé par le Chef de l’Etat et son gouvernement, avec l’appui notamment des partenaires internationaux ? Qui sont ceux qui veulent toujours profiter de la crise pour se faire du beurre ? Ils sont bien connus par le peuple centrafricain qui maîtrise leurs bourreaux.
Comment la politique en République Centrafricaine est devenue un art pour certaines personnes qui veulent en profiter pour s’enrichir afin de devenir riche et que le centrafricain lambda reste continuellement dans l’abîme pour assister qu’à leur mort ?
Il semble que les ennemis du peuple centrafricain que sont certains politiciens, dit de l’opposition, ceux de la société civile et les rebelles-sanguinaires décident clairement d’enfoncer une fois de plus, le pays dans une nouvelle crise qui va le réduire à un Etat néant. S’il est question de voir clairement dans cette folie de perturbation, ce sont les politicards, bien détestés par le peuple centrafricain qui mènent cette lutte qui visent à enterrer complètement la terre de Boganda dans l’enfer.
Qui ne se souvient pas du passé exécré de nos hommes politiques qui, sous tous les régimes passés, se sont montrés comme des gangsters et n’ont que le seul intérêt, celui de mettre le pays à feu et à sang. Posons justement la question de savoir, qui sont les politiciens ayant prêté la main forte aux groupes armés qui ont mis le pays par terre en 2013 ?
Et justement encore avec le retour à l’ordre constitutionnel, qui sont ceux qui déclenchent les troubles à Bangui et dans les provinces, visant à empêcher le pouvoir de Bangui à ne pas traduire dans les faits ce dont il a promis au peuple ?
C’est les hommes politiques qui se sont ralliés désormais aux leaders de la société civile pour mener leur combat en vue d’atteindre leur objectif maléfique. Pour les groupes armés, n’en parlant pas ! Les faits sont flagrants avec les crimes commis par-ci et là.
Sans un jour ne passe qu’on entende parler des tueries à Bambari, à Paoua, Kouango, Mobaye, Bakala, Koui, Kabo, Ouandago et autres localités du pays. En fin de compte, on a compris aisément que l’objectif visé par ces perturbateurs-politiciens, c’est les élections à venir. Pour eux, il est temps de mettre les bâtons dans les roues du président Touadéra et son gouvernement à l’approche des élections.
Ces politicards, de la vieille génération, qui n’ont légué aucun résultat à la jeune génération montante de l’heure, pensent-ils qu’ils vont sacrifier le pays et le peuple jusqu’à quand ? Le moins qu’on puisse dire, la fin de ces déplaisants-politiques est proche et le peuple centrafricain prendra ses responsabilités face à leurs actes criminels.