La République Centrafricaine prend de l’envol depuis que le président Faustin-Archange Touadéra a accédé à la tête de la magistrature suprême de l’Etat. A quelques pas pour l’achèvement de son premier quinquennat, les choses bougent sur tous les plans et le peuple centrafricain se retrouve soulagé après les moments de turbulence endurée.
Selon les statistiques enregistrées à travers les témoignages recueillis auprès des centrafricains, il y’a une nette avancée dans le processus de la stabilisation du pays. Le président Touadéra, selon les dires des observateurs de la vie politique, a fait vraiment le bon choix d’être entouré des gens qui sont soucieux de la reconstruction du pays, en mettant l’œuvre la vision politique du président Touadéra qui se « bat pour son peuple ».
Pourquoi continuons-ton de faire confiance au numéro un centrafricain qui conduit le pays vers un lendemain meilleur ? La raison est simple selon les centrafricains qui pensent que quand un seul capitaine se trouve dans un bateau en l’amenant au bon port, il est évident que tous les embarqués lui fait confiance pour sa compétence et son dynamisme. C’est pour exprimer que l’homme du 30 mars 2016 qui a associé tous ses compatriotes dans la gouvernance du pays, veut rendre le pays développé dont certains pays plagieront son exemple pour faire avancer les leur.
Au fur et à mesure, ceux qui hier, doutaient de l’engagement du président Touadéra, commencent à faire son bon témoignage en confirmant que Touadéra est bel et bien, l’homme qu’il faut pour le devenir de la RCA.
De la diplomatie à la coopération multilatérale et bilatérale au beau fixe, l’économie en bonne santé, la défense, la justice au rendez-vous et les infrastructures de base en chantier un partout dans le pays, toutes ces œuvres du président Touadéra lui concèdent une lettre de noblesse pour sa bonne gouvernance incontestable.
Y’a-t-il encore une raison nécessaire de critiquer par mauvaise foi ce que FAT, comme l’appelle son peuple, fait pour le bien-être de tous ! Pas du tout, peut-être il faut être un sorcier ou démagogue pour ne pas reconnaître et témoigner ce que l’autre fait. C’est Dieu qui donne le pouvoir comme l’a dit un précepte biblique et coranique. Au lieu d’instrumentaliser, d’organiser les troubles, de ressusciter les démons pour entraîner le pays dans le chaos, il faut que chacun prenne conscience de l’avenir du peuple en soutenant indéfectiblement le président Touadéra. Allons seulement !