La Commercial Bank of Centrafric (CBCA) est la meilleur Banque en Centrafrique du point de vue de ses clients et à travers les enquêtes menées auprès des Institutions nationales. Cette Banque qui a su toujours jouer son rôle d’une institution bancaire crédible à travers sa rapidité dans les opérations et les diverses innovations engagées en faveur de sa clientèle, témoigne de l’efficacité et la compétence avérées de ses responsables, notamment son Directeur général M. Hervé Kogboma Yogo qui, depuis sa nomination, a mené de profondes réformes que personne ne peut en contester aujourd’hui.
Pour rappel, le Dg Hervé Kogboma Yogo celui que nous lui jetons des fleurs à jour pour sens élevé en management, est titulaire d’une maîtrise en Banque-Finance, obtenu à la Haute Ecole de Gestion et de Comptabilité (HEGC), et ressortissant de Piger de Cotonou où il a décroché un Master 2 en Finance, le patron de la CBCA a débuté dans cette Banque en intervenant également à l’Université de Bangui. C’est la preuve de ce que font les autorités du pays, particulièrement le président Faustin-Archange Touadéra qui continue de dispenser les cours aux étudiants, malgré sa lourde tâche à la tête de la magistrature suprême de l’Etat.
La situation de la CBCA dès l’arrivée du Dg Kogboma en question…
A son arrivée, l’homme a hérité d’une situation difficile où la CBCA avait été sous l’administration provisoire de la COBAC (autorité de régulation, ndlr). Ces difficultés concernent la titrisation des engagements de l’État dans les livres de la banque principalement, le livre de la CBCA. En ce moment, il fallait prendre un certain nombre de mesures pour pouvoir redorer le blason de la CBCA. Et aussitôt à son arrivée avec ses collaborateurs nommés, ils ont mis en place un certain nombre d’initiatives qui ont permis aujourd’hui à la CBCA de se porter plus ou moins bien. Ces réformes engagées sont entre autres, la création d’une nouvelle Agence (Litingou) de la CBCA, avec le vert du Conseil d’administration, en vue de son positionnement sur le marché, car à un moment donné, l’effectif de la clientèle de la CBCA était en progression et il fallait ouvrir une Agence pour désengorger les guichets.
Dans cette perspective, la CBCA s’est focalisée sur le financement des Petites et Moyennes Entreprise(PME) tout en sachant que certes, le secteur des PME est un secteur généralement plus risqué, mais à la lumière de ce qui se passe sous d’autres cieux, le Dg Kogboma a estimé que cette ouverture peut être un créneau très porteur et voilà aujourd’hui, la CBCA a réussi à booster ce secteur des PME au travers des financements qu’elle accorde.
La gestion du personnel ! Bien sûr ! Elle n’est pas mise de côté où l’équipe directionnelle de la CBCA a opté pour un management plus coopératif. C’est pourquoi, selon le Dg Kogboma, les initiatives ont beaucoup réussi jusqu’à ce jour.
Le devenir de la CBCA dans toutes ses réformes ?
La CBCA, à en croire le Dg Hervé Kogboma, se relance et son rayonnement est aujourd’hui un acquis. Du point de vue commercial, ce sont les clients qui l’attestent. Sur le terrain, c’est la seule Banque qui continue à œuvrer dans les provinces après la crise que le pays a connue. De Berberati dans la Mamberé-Kadei en passant par Bouar dans la Nana-Mambéré et à Bangui avec son agence Centrale et celle du KM5, sans oublier la nouvelle agence à côté du restaurant Ali-Baba, la CBCA est toujours proche de sa clientèle. Étant donné que, cette Banque met à la disposition de sa clientèle le web banking où le client peut être informé sur les opérations effectuées sur ses comptes où il se trouve. Et donc, les clients de la CBCA, où ils se trouvent, peuvent ordonner des opérations sur leurs comptes.
La CBCA est la meilleure élève ?
Après la convocation par la COBAC des Banques de la sous-région l’année dernière (22 septembre 2018), est sortie sans sanction disciplinaire. Ceci grâce à un certain nombre de réformes présentées par le Dg Kgboma pour rassurer la CBCA exerce dans les normes requises. Même s’il y’avait quelques constats de souci, la CBCA a fini par triompher. Il y’a lieu d’informer nos lecteurs de lepotentielcentrafricain.com qu’en 2018, la direction générale de la CBCA a organisé une journée de réflexion en vue de renforcer les capacités de son personnel de l’ensemble des Agences qui se trouvent sur le territoire national. Plusieurs modules ont été débattus, notamment la déontologie du banquier ; l’informatique ; les résultats de la Banque ; la question de blanchiment de capitaux ; du financement de terrorisme…
Le constat que nous enregistrons suite à notre enquête, l’équipe dirigeante de la CBCA a le soutien total des autorités du pays, car selon le Dg Kogboma, la CBCA est la fille du régime en place. Autrement dit, cet établissement bancaire est tenu par l’Etat centrafricain à hauteur de 85%. Donc, il y’a un intérêt particulier à témoigner aux autorités du pays qui fait également la fierté de l’Union Bancaire en Afrique Centrale qui était la fusion de deux groupes français de l’époque. Mais lorsque le crédit lyonnais s’était retiré, c’est l’État qui a soutenu cette Banque jusqu’aujourd’hui. La preuve en est que la CBCA, avait rencontré quelques difficultés au plan réglementaire par rapport à la structure de son capital, mais c’est l’État centrafricain qui est intervenu pour aider cette Banque à bien se porter aujourd’hui. C’est pour conclure que la CBCA avec l’équipe que dirige le Dg Hervé Kogboma, c’est du succès et un meilleur lendemain pour ses clients et de l’Etat centrafricain.