L’élection présidentielle doit avoir lieu à la fin de 2020, mais les grandes manœuvres ont déjà commencé. De passage à Paris, l’ex-ministre se confie sur ses ambitions et sur sa famille, tout en réglant ses comptes avec son ancien allié, le président Touadéra.
Si le divorce est rarement une sinécure, il prend parfois, en politique, des airs plus radicaux encore. L’homme qui nous rend visite au 57 bis de la rue d’Auteuil était, il y a encore deux ans, l’allié du chef de l’État, Faustin-Archange Touadéra. Candidat à la présidentielle en 2016, Jean-Serge Bokassa avait rejoint le futur vainqueur lors du second tour, en échange de l’un des postes les plus en vue du gouvernement... suite de l'article sur Jeune Afrique