preuve de la réunion d’hier
Une réunion organisée et financée par Karim Meckassoua s’est tenue hier, mercredi 11 septembre 2019 au siège du mouvement politique Chemin de l’Espérance présidée par Gildas de Carême BENAM, ancien président de l’ANECA, Parfait AKOUMA, ancien jéciste et Tarouka SHABASS, un prostitué politique qui était à l’URCA avant de rejoindre le RPR d’où, il vient de claquer la porte.
Le but de cette réunion hautement politique est de mettre en place la stratégie de destitution du président Touadéra. Le schéma est tout simple. Profiter de la prochaine rentrée parlementaire pour instrumentaliser les députés par tous les moyens à signer une motion de censure à l’endroit de Touadéra. Avec comme financier, le très controversé Karim Meckassoua.
Tout un plan machiavélique a été mis en place lors de cette réunion. Le seul ordre du jour était « la destitution du dictateur Touadéra ». Le schéma est le suivant :
FTS ( ?)
1-mobiles
2-stratégies
Communications :
-presse ;
-réseaux sociaux.
b) aspect juridique :
-signatures des honorables ;
-actes de missions ;
-accusation de Faustin Archange Touadéra pour HAUTE TRAHISON.
3-Budget (qui sera financé par Meckassoua)
Cela n’étonne personne car, c’est ce même Karim Meckassoua qui est l’auteur du regroupement de tous les opposants en France pour demander la démission du président Touadéra. C’est toujours lui qui active et finance les milices du KM 5 qui continuent de tuer. C’est encore lui qui instrumentalise les chefs des groupes armés pour démissionner du gouvernement et, par la fin, quitter l’Accord de Paix de Khartoum.
Entre deux avions, celui-ci est à Paris, Doubaï, Qatar, Brazzaville pour chercher des financements et soutiens occultes, dans le seul but d’avoir la tête de Touadéra. Il est le grand financier de la plateforme « E ZINGO BIANI ». Grand fournisseur des groupes armés en armes et argent, c’est lui qui a tiré les ficelles pour amener le chaos à Birao.
Les preuves de cette réunion de déstabilisation du président de la République démocratiquement élu sont si évidentes qu’il est temps que les complices de Meckassoua soit arrêté avant de lui mettre la main dessus.
Le Procureur de la République doit se saisir de cette affaire. Il n’a pas à chercher de midi à quatorze heures pour interpeller les comploteurs. Une fois que ces lascars seront dans les filets de la justice, il sera facile de remonter jusqu’à l’auteur principal.