Les deniers agissements subversifs de Karim Meckassoua ne sont plus à démontre. Celui s’affiche et continue de s’afficher ouvertement comme fauteur de troubles dans le seul but de déstabiliser le régime de Touadéra qu’il a juré d’avoir la tête.
Toutes ces manigances ont pour but que le gouvernement décerne contre lui, un mandat d’arrêt afin qu’il puisse montrer son vrai visage et déployer son agenda caché de déstabilisateur du régime en place. La longue absence de Meckassoua qui n’a pas pris part à deux sessions de l’Assemblée nationale n’est pas fortuite. Pendant pratiquement un an, il n’est pas au pays. Il est à l’extérieur et toujours entre deux avions à la recherche des financements et appuis occultes pour la perte des Centrafricains.
La Représentation nationale doit prendre ses responsabilités pour le démettre lors de la prochaine session en appliquant simplement le Règlement intérieur de cette institution. Les textes de l’Assemblée nationale prévoient que l’absence prolongée et non justifiée d’un député aux assises de l’institution entraîne sa destitution. Quand l’on sait que Meckassoua est le cerveau des soulèvements des groupes armés, des diverses manifestations de la société civile et des opposants politiques, il y a de quoi se méfier de cette vipère. Son nom est cité dans tous les dossiers compromettants.
Toujours insatisfait, il veut à tout prix devenir Président de la République sans pour autant savoir que c’est Dieu qui donne le pouvoir. Le peuple centrafricain connaît maintenant son vrai visage et l’attend de pieds fermes lors de son retour.