En Centrafrique, certains partis politiques de l’opposition se lancent dans une bataille farouche contre le pouvoir en place, dirigé par le président de la République Faustin-Archange Touadéra, le premier ministre Firmin Ngrébada avec le soutien indéfectible de l’ensemble des autorités qui sont soucieuses de l’avenir du pays.
Il souviendra que certains leaders politiques qui se sont coalisés dans un bloc méphistophélique, veulent abréger le mandat présidentiel du président Touadéra et de son gouvernement. Raison laquelle, ces derniers qui ont fomenté tous les démons de la crise connue dans le pays, n’apprécient pas la politique de la main tendue du régime en place et cherchent par toutes les voies et moyens les remèdes dangereux pour faire avaler à l’homme fort de Bangui.
Faisons juste un rapprochement avec les différents moments turbulents que traverse le pays durant trois d’exercice et l’accomplissement de la mission qui lui est confiée par le peuple centrafricain. Un parcours qui, à vrai dire, est bourré d’embûches, notamment le financement du réseau des groupes armés qui s’agitent sur l’ensemble du territoire national contre la population civile, l’activation des parrains de la crise au niveau régional voire international, et l’instrumentalisation de certaines organisations de la société civile sans oublier certaines centrales syndicales…
Tout ceci, c’est pour renforcer la capacité de nuisance de ces partis politiques qui sont contre la personne de Touadéra et Ngrébada. C’est pour démontrer clairement que la lutte politique ne s’inscrit pas dans le but de conquérir le pouvoir démocratiquement, mais de s’attaquer par mauvaise foi aux bonnes œuvres qu’accomplissent ceux qui ont la pleine charge de l’accomplir.
Aujourd’hui, nous pouvons dire clairement que le pouvoir de Bangui a traduit dans les faits ses engagements pris depuis le 30 mars 2016 (date d’investiture du président Touadéra, ndlr). Même s’il y’a quelques manquements enregistrés par-ci et là en ce qui est de la situation sécurité sur le terrain, il y’a aucun intérêt pour les soi-disant opposants démocratiques qui ont mis le pays dans l’état où il se trouve, de brailler comme des chiens enragés contre les choses altruistes qui se font en ce moment.
Et donc, avec la politique de la main tendue prônée par les teneurs du régime en place, les compatriotes qui se sont rebellés ont compris qu’il n’y est plus question de détruire leur pays que de rendre vulnérables leurs compatriotes.