L’Union pour le Renouveau de Centrafrique (URCA), parti politique crée par Anicet-Georges Dologuélé, glisse sûrement droit dans le mur avec la démission de ses militants et partisans qui gobent très mal sa façon de faire la politique et de gérer le parti.
Il vous souviendra qu’au cours de l’année 2020, l’URCA a traversé des moments de turbulence qui continue de faire son bonhomme de chemin. Plusieurs membres du bureau politique national, ceux des fédérations et sous-fédérations voire certains députés du parti ont claqué la porte de l’URCA et de s’engager dans d’autres partis politiques responsables.
C’est la preuve de ce que nous cessons de déplorer depuis toujours. Anicet-Georges Dologuélé à vrai dire, n’est pas un homme politique responsable qui, dans son parcours politique, ne fait de la vacherie en vacherie. C’est vraiment une personnalité qui peut diriger la RCA du moment où il est incapable de gérer son propre parti !
Comment une telle personnalité s’est vue lâchée par ses partisans pour sa mauvaise gestion à la tête du pays et surtout son caractère despotique ?
Le dernier exemple en date, c’est la démission de son suppléant de Bocaranga1, Jonas GAYI qui a informé Dologuélé à travers une note, de sa démission officielle de l’URCA et de sa fonction de député-suppléant.
Les raisons évoquées pour cette renonciation, c’est le manque de bonne gouvernance que Dologuélé ne fait pas preuve à travers sa lutte de l’opposition stérile, et son alliance contre nature avec François Bozizé du KNK.
Ceux qui se sont alignés derrière Dologuélé se rendent compte que celui-ci n’est pas un homme propre à suivre. Il est le véritable partisan de la corruption, de la démagogie, d’indélicatesse…qui pratique toujours la politique politicienne. C’est dans cette optique ces militants le quittent les uns après les autres. A qui le prochain tour de démission !