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Centrafrique : Quand l’opposition des leaders politique à l’Accord de Khartoum rime avec l’instabilité du pays

Publié le mercredi 8 janvier 2020  |  Le Potentiel Centrafricain
Cérémonie
© Autre presse par DR
Cérémonie de la signature de l’accord de Khartoum au Palais de la renaissance à Bangui.
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En quoi les leaders de l’opposition dit démocratique, s’opposent catégoriquement à l’Accord politique de paix et de la réconciliation (APPR) signé entre le gouvernement et les 14 groupes armés ? Pour quel dessein ces personnalités politiques qui sont contre le régime de Bangui rament à contre-courant des initiatives qui visent le retour définitif de la paix dans le pays ? Ces derniers s’agitent dans ce sens rien que pour leur appétit politicien qui n’est pas bénéfique pour le peuple centrafricain. Et pour cause !

Il vous souviendra que les leaders des partis politiques s’opposaient à la démarche du pouvoir en place qui consistait à tendre la main aux groupes armés afin que ces derniers taisent leurs armes par voie de dialogue.

En commençant par Meckassoua, N’guendet, Tiangaye, J.S Bokassa, Désiré Kolingba, Dologuélé et le parti KNK mettaient et continuent d’activer les troubles pour remettre en cause cet APPR, alors que ce document a permis, depuis après sa signature à ce que le pays retrouve la paix progressivement sur toute l’étendue du territoire national.

Si ces leaders de l’opposition s’oppose à cet accord, c’est qu’ils ne veulent pas à ce que la paix revienne dans le pays et que les groupes armés continuent leurs forfaits sur les populations qui aspirent à la paix.

Malgré les autorités du pays engagent toutes les stratégies visant à rendre le pays stable en vue de relèvement après la crise traversée, les leaders de l’opposition cités ci-haut ont quant à eux, font qu’instrumentaliser, colportent des mensonges au peuple et divulguent des messages à intention politique pour faire plonger le pays dans la guerre.

L’intention de ces véreux hommes politiques est connue de tous, et leur opposition à l’accord de Khartoum est synonyme de projet de mettre le pays à feu et à sang.
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