A Bangui, les héritiers d'une cavalerie impériale oubliée trottent toujours
Soumaila Zacharia Maidjida, juché sur son alezan, traverse les façades décrépies de Bangui, le 23 janvier 2020. / AFP
Au beau milieu de l'avenue encombrée de voitures cabossées et de motos-taxi, voilà soudain une étrange apparition. Un cavalier juché sur un alezan, qui trotte gracieusement entre les façades décrépies de Bangui, capitale de la Centrafrique.
Au passage de l'équidé, les badauds s'immobilisent. Les uns éclatent de rire. Les autres se tiennent à distance, un peu effrayés par cette créature qui souffle et trépigne en soulevant des nuages de poussière rouge.... suite de l'article sur Autre presse