Centrafrique : Quatre ans de gouvernance indiscutable de Touadéra marqués par des réalisations palpables

Publié le vendredi 6 mars 2020 | Le Potentiel Centrafricain

© Autre presse par DR
Retour du president Touadéra du Japon et de la France où il a participé à la 7ème édition de la TICAD
Bangui ,6 septembre 2019.De retour du Japon et de la France où il a participé à la 7ème édition de la TICAD et rencontré le président Emmanuel MACRON, le Président TOUADERA a confié à la presse qu’il suivait de près le dialogue social entre le gouvernement et les partenaires sociaux.

Le 30 mars 2020, sera la date qui marque le quatrième anniversaire de l’accession du président Faustin-Archange Touadéra à la tête de la magistrature suprême, le jour où il a prêté serment solennellement le 30 mars 2016 devant le peuple après sa brillante élection. Ces quatre ans de gouvernance sont bourrés d’embûches tendus par les opposants politiques, néanmoins les aspects positifs triomphent toujours pour le bonheur de tous les centrafricains.

A l’approche de l’anniversaire de quatre ans du président Touadéra passés au pouvoir, il y’en a ceux qui vont se mettre dans la posture de noircir le régime du président et de son gouvernement, alors que le peuple centrafricain a pour lui, reconnu que l’homme fort de Bangui a fait de son mieux pour remettre le pays sur ses deux pieds après des moments douloureux traversés.

Dès son accession au pouvoir, le président Touadéra a pris à bras le corps les problèmes qui minent le pays. Il s’est attaqué à la situation humanitaire dégradée entre temps, en faisant régner l’autorité de l’Etat et la sécurité sur toute l’étendue du territoire national, pour chuter à la cohésion sociale et le vivre-ensemble entre les communautés qui se regardaient en chien de faïence.

Pour relever totalement un pays qui a été détruit complètement, une diplomatie agissante a été engagée par le président Touadéra qui a aussi mis à contribution, la coopération bilatérale et multilatérale, afin de permettre le développement économique du pays. Et c’est une réalité avec la Banque Mondiale, le Fonds monétaire international, la Banque africaine de développement, la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale, l’Union Africaine, l’Union Européenne, l’Agence française de développement, le Fonds saoudien et bien d’autres partenaires qui contribuent efficacement à l’œuvre dont fait preuve Touadéra.

Sur le plan économique et la coopération militaire, les pays tels que : Les Etats-Unis, la France, la Chine, la Russie, le Rwanda, l’Angola, l’Egypte, le Maroc, la RD Congo, le Cameroun…les avancées sont enregistrées et qui favorisent la montée en puissances des Forces armées centrafricaines (FACA), leur formation par les forces internationales et leur redéploiement progressif sur le terrain afin que ces derniers accomplissent les missions qui sont les leur. On peut être de la pure mauvaise foi pour contredire les réalités qui se font en ce moment par nos autorités. L’opinion nationale et internationale est unanime sur le rythme de décollage du pays vers un lendemain meilleur.

Le problème de chômage en milieu jeune, tient au cœur du président Touadéra qui de vague en vague, intègrent les jeunes diplômés et autres recrutements dans la fonction publique. Du jamais vu sous d’autres régimes ! La construction et réhabilitation des infrastructures se font dans tous les sens et dans tout le pays en vue de donner un autre visage à l’administration et fournir un cadre de travail décent aux cadres et agents de l’Etat.

Conscient de la situation du pays dont il a hérité, le président Touadéra s’est pertinemment que le développement d’un pays, surtout le nôtre qui sort d’une crise militaro-politique, doit passer nécessairement par les infrastructures routières. Dans la ville de Bangui, c’est une autre image de Bangui la coquette qui reprend son qualificatif d’antan. Les routes en terre sont bitumées et d’autres axes sont en voie de bitumage.

Les tronçons qui relient la capitale aux villes de provinces sont réfectionnés en vue de favoriser l’échange commercial et la libre circulation des personnes et de leurs biens. L’axe Sibut Bambari ; Damara-Bouca ; Bossemptélé-Bossangoa ; Baoro-Bouar ; Baoro-Berberati…En sont les preuves. Pour éclairer encore davantage les lanternes des lecteurs de lepotentielcentrafricain.com, plusieurs projets de réhabilitation et bitumage sont déjà lancés et les chantiers vont commencer d’ici peu. Il s’agit du bitumage de l’axe Ngaragba-Kassaï-Boyrabe via Ndrès, sans oublier les axes Bambari-Bria-Ouadda-Birao ; Grimari-Kouango ; Bambari-Mobaye-Alindao-Kongbo-Bangassou-Satéma-Rafai-Zémio-Obo-Bakouma ; Bossango-Bétoko-Kabo-Paoua-Bocaranga-Ngaoudayae ; Mbaiki-Mongoumba-Boda-Mambéré-Nola-Salo ; Berberati-Abba-Bogangone-Gadzi dont les projets de reconstruction sont déjà ficelés avec les partenaires au développement.

Pour ne pas être un démagogue, il faut reconnaître à Touadéra ce qu’il durant quatre ans pour l’intérêt du pays. L’image du pays change comme nous a glissé un diplomate en poste à Bangui. Les immeubles poussent comme des champignons, notamment la construction de l’hôtel des impôts, la finition du nouveau siège de la direction nationale de la BEAC, la réhabilitation et dotation de la télévision nationale, le nouveau bâtiment de l’ANAC-SODIAC, la Direction des grands travaux de la Mairie de Bangui, les projets de la réhabilitation de l’aéroport Bangui M’poko, le Palais de la Renaissance rénové, et bien d’autres réalisations sont les fruits sont palpables à la portée de tous les centrafricains.

En tout cas, les quatre ans passés au pouvoir du président Touadéra, est un excellent travail qui doit être félicité, encouragé et soutenu à sa juste valeur. Le chemin est encore long et Touadéra a promis de se battre constamment pour son pays retrouve son unité, sa dignité et son travail pour ne pas paraphraser le Feu président Fondateur Barthelemy Boganda qui nous a légué cette devise nationale.

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