Il y a des comportements qui sont considérés comme incompatibles avec la vie en société, et qui doivent être sanctionnés. En Centrafrique, c’est le Code criminel qui énonce les règles de procédure et les peines applicables aux personnes qui commettent une infraction criminelle. Le cas du criminel Djotodia Michel en est la parfaite illustration.
En effet, les victimes du régime SELEKISTE du sanguinaire Djotodia faute d’espèrer sur la justice centrafricaine moribonde, n’ont pas d’autre choix que de déposer une plainte devant la justice Internationale pour essayer d’accélérer la marche vers un procès de monsieur Djotodia pour atteinte à la sureté de l’Etat centrafricain, tortures, assassinat crapuleux, confiscation des biens d’autrui et enfin pour pillage des biens publics et privés. l’introduction d’une plainte devrait être ouverte et ces victimes devraient se constituer en association « contre l’immobilisme et du retard dans la prise des sanctions contre Michel Djotodia ». Les autorités Centrafricaines doivent déposer une plainte contre Michel Djotodia au nom de l’Etat Centrafricain auprès de la Justice Française afin qu’il puisse s’expliquer sur cette tragédie et ses multiples, déplacements depuis le Benin.
Alors que la justice traine ses pattes, les victimes meurent les unes après les autres sans avoir obtenu justice ! « Depuis dix petits mois de son règne, nous nous battons pour que la justice se prononce sur les atrocités que nous avons subies, au nom du peuple Centrafricain » a déclaré un militant des droits de l’homme à Bangui.
On nous dit : il n’y a pas d’argent on ne va pas commencer le procès, mais nous nous ne pensons pas que c’est un problème financier, maintenant, qui bloque le dossier Michel Djotodia ? C’est juste une question de volonté politique qui devrait consister à rendre justice au peuple Centrafricain après cette humiliation subit aux yeux et sus de tout le monde. Il n’y a pas l’argent, mais l’argent ne nous empêche pas de travailler ! On peut commencer à travailler et l’argent viendra après. Nous ne pensons pas que la communauté internationale s’engagera aussi et au cours de la procédure et ne laissera pas la Centrafrique seule. On ne peut pas avoir tout [tous les fonds] avant de commencer. C’est quasiment impossible.
Le moment est venu de faire la lumière sur une association malsaine dite seleka la justice est une armée efficace de la démocratie.
SIMON -KOITOUA