Pas question d’exposer les personnels des opérations de maintien de la paix ou de voir les Casques bleus contaminer les populations des pays où ils sont déployés. L’ONU doit donc s’adapter au coronavirus. Exemple en République centrafricaine.
Le spectre du choléra, importé en Haïti par des Casques bleus népalais en 2010, plane toujours sur le Département des opérations de maintien de la paix. 10 000 morts avaient été recensés et l’ONU avait publiquement reconnu sa responsabilité en 2016.... suite de l'article sur Autre presse