Les Forces Armées Centrafricaines (FACA) reprennent leur puissance d’antan, et les groupes armés doivent tout simplement rebrousser chemin, et regagnent d’où ils viennent avant que cela soit trop pour eux. De Obo en passant Bambari, Bria et maintenant dans l’Ouham-pendé et une partie de la Nana-Mambéré, Sidiki Abass des 3R et ses mercenaires peuls paient actuellement le prix terrible, et obligés de se mettre à genou et demandent pardon. Quel pardon ! Ont-ils oublié leurs exactions sur les populations ?
Le président Faustin-Archange Touadéra, Chef suprême des Armées, est un homme engagé pour la restauration de la sécurité sur l’ensemble du territoire national, disant la stabilité du pays. C’est en ce sens que l’homme fort de Bangui a engagé toutes les batteries au niveau international avec des pays amis comme le Rwanda, pour que la restructuration de l’Armée va bon train.
La détermination des FACA est une preuve de la montée en puissance des forces du pays. Le président Touadéra, étant l’homme du dialogue, a tendu la main aux groupes armés, dans le but de la recherche de la paix dans le pays. Malheureusement, cet engagement ne fait que matérialiser par l’obstination des rebelles qui veulent soumettre le pays à leur cadence personnelle. Diantre !
Du village Besson à Niem-Yéléwa, Koui, Degaulle et Bocaranga, les mercenaires de Sidiki Abass, ce natif camerounais de la région de Maroua, sont dans le sauve-qui-peut. Les FACA sont à leur trousse jour et nuit. Maîtrisant la région de Bocaranga, fouille les grottes là, où se cachent ces terroristes de Sidiki Abass.
C’est suite à ce feu de frappe que, le chef des 3R ne sait exactement où il peut avoir la vie sauve. Au moment où nous mettons cet article sous presse, les frontières avec le Cameroun et le Tchad au niveau de Bocaranga et Ngaoundaye sont quadrillées avec des FACA aguerris. Sidiki et ses éléments sont obligés de demander pardon et solliciter un autre dialogue avec le pouvoir de Bangui. Quel dialogue encore ? A-t-il oublié le précédent dialogue qu’il a rompu avec la violation de l’APPR ?
Les FACA sont déterminés pour en finir définitivement avec ces sanguinaires de Sidiki. La puissance des FACA est un signe décisif du président Touadéra pour le retour de la sécurité dans tout le pays, surtout pour la bonne tenue des élections. Sidiki Abass et ses sanguinaires n’ont que le choix de déguerpir ou de périr. Le dialogue n’y est plus. Plus de dialogue tue le dialogue !