On se souvient que depuis la dernière crise militaro-politique qui commence en décembre 2012 dans la partie septentrionale de la République centrafricaine avec la formation de la coalition séléka en majorité des musulmans et la riposte des mouvements anti-balaka se réclamant des chrétiens, le pays a perdu toutes ses bases morales et la disparition des chefferie traditionnelles. Cependant dans sa politique de reconstruction sur les bases détruites, la coordination de soutien aux actions du président Touadéra sous la houlette de M. Marius DIMBA cherche à redorer cette fausse image.
Ce dimanche 06 septembre 2020, les chefs de quartier de la Commune de Bégoua dans la préfecture de l’Ombelle Mpoko rassemblés dans l’enceinte de la mairie de ladite commune ont reçu d’importants lots de travail permettant de rétablir leur honorabilité auprès de leurs administrés. Ce geste témoigne à suffisance de la bonne volonté du président Touadéra à reconstruire ce qui a été détruit par ses prédécesseurs.
Pour le coordonnateur de ce mouvement qui soutient les actions du président Touadéra, en la personne de M. Marius DIMBA, il ne faut pas perdre de vue, le champignon du MCU est au service de la population malgré les jugements hâtives de ses détracteurs politiques: « La République centrafricaine doit revêtir sa robe de noblesse avec la reconnaissance de l’autorité de l’Etat, car tout pouvoir vient de Dieu. Malheureusement, les chefs de quartiers ont perdu toutes leurs valeurs. Ce qui crée la confusion au sein de la jeunesse fer de lance de la nation. J’ai décidé avec le secours du président de la République et président du MCU de refaire les bases des chefferies traditionnelles en Centrafrique. Les kits que nous remettons de nos jours aux chefs sont composés des macarons qui symbolisent l’autorité des chefs auprès de leurs administrés, le drapeau synonyme de leur mission de garant de l’autorité de l’Etat dans leurs zones et les postes radios pour suivre les informations crédibles surtout en cette période où le pays voudrait faire valoir sa capacité de résilience par l’organisation des élections démocratiques, transparentes et surtout crédibles enfin, les sifilets pour la sensibilisation et communication comme cela se faisait dans les moments glorieux du pays dans les années 70»
Pour le président de la Délégation de Bégoua, le président Touadéra est vraiment un homme qui se soucie de son peuple et par conséquent, il doit rester : « Nous sommes très reconnaissant de toutes les actions menées par le chef de l’Etat dans notre Commune et nous lui promettons, une victoire 100% au premier tour. Les actes parlent d’eux-mêmes et de leur monde dans notre localité. Cependant, nous demandons à ce que le président se penche sur la construction de la mairie et du marché à bétail de Bégoua comme il l’a fait à Bimbo deux communes créées par un même décret du 8 juin 1959. La population reste à l’écoute de son appel avec une victoire assurée au premier tour », a-t-il ajouté.
Pour l’un des récipiendaires, « Touadéra est la solution pour le Centrafrique de nos jours. L’acte posé par ce digne fils du pays vient seulement étayer ce que les gens disent très bas. Les valeurs traditionnelles ont été banalisées depuis le début de la crise et si de nos jours, on veut nous établir dans notre dignité de chef de quartier à la hauteur de la mondialité, c’est une victoire assurée et à partager auprès de nos administrés pour ce que Touadéra peut faire dans ce pays. Il doit rester au profit de la population de la commune de Bégoua »
En effet, le temps est à la reconstruction du pays de nos jours. Les Centrafricains veulent une politique par les actes concrets et non des discours qui font dormir nos consciences. Bravo donc à la coordination de soutien aux actions menées par le président « Touadéra doit rester »