Bangui - L’année 2014 qui vient de s’achever est caractérisée par des événements socio-politiques sinistres de portée nationale, internationale et les situations économiques désastreuses teintée de plusieurs controverses.
Au plan politique, les crises militaro-politiques récurrentes ont bouleversé partiellement les institutions de la transition qui ont survécues grâce à l’implication de la communauté internationale dans la recherche de solutions apaisées à travers la désignation de Mme Catherine Samba-Panza comme Présidente de transition par les conseillers nationaux.
La convocation des acteurs de la crise centrafricaine au forum de Brazzaville qui a abouti à la signature des accords de cessation des hostilités, ainsi que la formation d’un nouveau gouvernement d’union nationale.
Concernant le volet économique, tous les indicateurs économiques étaient en rouge, la République Centrafricaine dépend des aides bilatérales et multilatérales. En plus, les unités de production qui soutiennent l’économie sont aux arrêts.
La rubrique sociale avec ses cortèges de malheur a endeuillé non seulement les familles centrafricaines, mais aussi la République Centrafricaine, obligeant ainsi les autorités de la transition à solliciter une assistance humanitaire sans précédent.
Les attaques à mains armées, les tueries, les destructions des biens de l’Etats et d’autrui ont contraint beaucoup des centrafricains à trouver refuge dans les différents sites pour leur protection.
Enfin, le bilan sportif est quasiment négatif au regard de toutes les statistiques relatif aux évènements qui se sont déroulés au niveau nationale et internationales dans les domaines sportifs.