Malgré le grand nombre de films africains sélectionnés sur la Croisette, deux seulement ont obtenu des prix. Même si chacun a retenu, à sa façon, l’attention des festivaliers.
De retour sur la Croisette après une année 2020 zappée pour cause de pandémie, le festival de Cannes de ce mois de juillet, disposant de deux années de production pour choisir sa sélection, s’annonçait comme un cru exceptionnel. De l’avis général, ce ne fut pas le cas, du moins pas au niveau espéré. Malgré la qualité ou l’originalité de certaines des œuvres présentées, dont la Palme d’or, qui est allée de façon peu surprenante par les temps qui courent à un film réalisé par une femme mais aussi de façon assez surprenante à un film trash et même gore, le très beau et très dérangeant Titane de la jeune Française Julia Ducournau.... suite de l'article sur Jeune Afrique