En République centrafricaine, en plus du fait que plus de la moitié de la population sombrera sous peu dans la crise alimentaire, on nous annonce que les caisses de l’Etat sont vides. A défaut de rassurer, le pouvoir centrafricain refuse d’opter pour la politique d’austérité.
Décidément, en plus du fait que les assiettes seront bientôt vides, il se trouve que les billets de banque se feront aussi davantage rares. L’inquiétude des Centrafricains est très parlante, tandis que le pouvoir de Bangui fait fi et refuse de rassurer.
Qui n’avait pas pensé que le gel de l’appui budgétaire français allait créer un déséquilibre dans le trésor public ? Désormais, en plus de la coupure de la manne française, il y a bien certaines institutions bancaires internationales qui ont conditionné leur aide. Ça sent le roussi puisqu’il ne va pas pleuvoir des «roubles», à moins d’un miracle.... suite de l'article sur Autre presse