Fin décembre, une délégation libyenne s’est vue empêcher d’accéder à l’hôtel le plus en vue de Bangui. Un ultime rebondissement dans le bras de fer qui a longtemps opposé la Libye et la Centrafrique autour de la gestion de cet établissement.
Drôle de scène que celle qui s’est déroulée devant le Ledger Plaza de Bangui, le 29 décembre. Ce jour-là, des employés mécontents interdisent l’accès du palace à des représentants des autorités libyennes. La délégation, dirigée par le vice-président du Conseil présidentiel libyen, Abdallah Hussein al-Lafi, est arrivée le matin même dans la capitale centrafricaine... suite de l'article sur Jeune Afrique