En République centrafricaine, les relations diplomatiques avec la France ne cessent de se détériorer. Des parlementaires ont dénoncé lors d’une conférence de presse cette semaine les « tracasseries » dont ils s’estiment victime lors de leurs séjours en France, le tout dans un contexte diplomatique tendu en raison notamment des activités de la société militaire privée Wagner, accusée par l’ONU de graves exactions contre les civils en Centrafrique.
Avec notre correspondant à Bangui, Carol Valade
« Nous sommes harcelé, intimidés, humiliés », proteste avec énergie le premier vice-président de l’Assemblée nationale Evariste Ngamana. Il dénonce un contrôle de douane survenu en salle d’embarquement tandis qu’il reprenait le chemin de Bangui avec plusieurs autres députés de retour d’une mission au Parlement européen.... suite de l'article sur RFI