De nombreux acteurs s’inquiètent de la teneur de plus en plus outrageuse des propos tenus par des plateformes proches d’acteurs politiques. Les menaces et invectives augmentent vis-à-vis de membres de l’opposition, de militants des droits humains, de journalistes, de fonctionnaires ou encore des partenaires du pays
Depuis plusieurs semaines, certaines plateformes dites « patriotes » prennent régulièrement à partie les opposants au président Touadéra, accusés d’être des « entrepreneurs de désordre et d’instabilité ». Elles demandent à la justice de les « traquer » - une plainte a même été déposée - et avertissent qu’elles s’en prendront à toute manifestation critique des autorités.... suite de l'article sur RFI