Le Président Faustin Archange Touadera, dans ses velléités de changer illégalement la Constitution à trois ans de la fin de son second et dernier mandat, dans l’unique but de pouvoir briguer, à 68 ans, un troisième mandat à la tête de son pays, « décide de violer son serment et liquider la démocratie dans son pays.
Selon l’opposant Crépin Mboli-Goumba, Président de la PATRIE, « Six ans après avoir entamé un rail destructeur pour l’unité et le prestige national. Et moins de deux ans après avoir usurpé la volonté populaire pour se maintenir au pouvoir, en organisant le plus grand hold-up électoral de l’histoire de la République centrafricaine, le Président Touadera a décidé de violer son serment et de liquider la démocratie centrafricaine ».
D’après lui, un groupuscule ultra-minoritaire a décidé d’instrumentaliser l’État, l’administration, le gouvernement par la contrainte et l’argent public afin de demander un référendum constitutionnel. Dans le but d’établir un pouvoir à vie.
« En ces temps troubles où se joue l’avenir de la démocratie pour laquelle nous avons enterré le temps de nos parents, je pense ici notamment au docteur Jean-Claude Konjugo et à temps d’autres anonymes. Il faut qu’une voix s’élève pour parler au nom de l’écrasante majorité de nos compatriotes », précise l’opposant maître Crépin Mboli-Goumba.
À en croire ses propos, cette manœuvre malsaine du gouvernement ne passera pas, et il rassure ses compatriotes centrafricains qui, dans son écrasante majorité, ne l’ont pas approuvé pour la simple raison qu’elle aille contre le sens de l’histoire.
« Parce que vous ne vous reconnaissez pas dans ce régime qui a jeté le discrédit sur les institutions de notre pays, devenu le repaire de tous les bandits du monde entier ».